Oh, si j’étais en ce beau sein ravie
Si m’accolant tu me disais : chère Amie
Contentons-nous l’une de l’autre !
Contentons-nous l’une de l’autre !
Si, de mes bras la tenant accolée,
Comme du Lierre est l’arbre encerclé,
Comme du Lierre est l’arbre encerclé,
La mort venant, de mon aise envieuse,
Et mon esprit sur ses lèvres fuirait,
Bien je mourrais, plus que vivante, heureuse.
Bien je mourrais, plus que vivante, heureuse.