Thérèse Menot 1923-2009
A 20 ans, pendant la seconde guerre mondiale, Thérèse Menot avait rejoint la résistance au sein du réseau Combat. Dénoncée et arrêtée par la Gestapo à Limoges en janvier 1944, elle fut déportée au camp de concentration de Ravensbruck puis dans un camp disciplinaire en Tchécoslovaquie. Après son retour, à la Libération, elle avait attendu de nombreuses années avant d’oser parler de ce qu’elle avait vécu dans les camps. Elle avait peur de ne pas être crue.
Puis vint le temps du combat contre l’oubli. Une lutte au nom de ses camarades, qui n’étaient pas revenues des camps de la mort et qui lui avaient fait promettre : « tu leur diras, tu leur diras ! ». Promesse tenue. Pour Thérèse Menot, le devoir de mémoire n’aura pas été un vain mot. Pendant cinquante ans, jour après jour, année après année, en arpentant les collèges et les lycées, en accompagnant des adolescents limousins à Ravensbruck, en pourfendant les révisionistes, encore et encore, Thérèse Menot aura consacré toute son énergie à témoigner.
Puis vint le temps du combat contre l’oubli. Une lutte au nom de ses camarades, qui n’étaient pas revenues des camps de la mort et qui lui avaient fait promettre : « tu leur diras, tu leur diras ! ». Promesse tenue. Pour Thérèse Menot, le devoir de mémoire n’aura pas été un vain mot. Pendant cinquante ans, jour après jour, année après année, en arpentant les collèges et les lycées, en accompagnant des adolescents limousins à Ravensbruck, en pourfendant les révisionistes, encore et encore, Thérèse Menot aura consacré toute son énergie à témoigner.
Source France 3
Thérèse Menot tenant la tenue de déportée qu'elle portait à son retour des camps et interrogée ici peut-être par une élève
J'adore ton blog. Je vais le visiter très souvent.
RépondreSupprimerJ'aime aussi les femmes, et bien sûr, je les revendique.
À très bientôt,
WF
Jusqu'à voir ton blog, je ne mettais jamais intéressée aux cowgirls ! Je découvre tout un univers de femmes ... et de fantasmes possible ! lol
RépondreSupprimerA bientôt
Je ne m'étais ...
RépondreSupprimerCe matin le français et moi ça fait deux !