mercredi 28 juillet 2010

Courage des femmes

Ici, une des "folles de la place de Mai" en argentine. Elles ont défilé tous les jeudis de 1977 à 2006 pour que l'on oublie pas les membres de leurs familles disparus dans la repression de la dictature qui a duré de 1976 à 1982.(Esprit de Femmes)

lundi 26 juillet 2010

"Footeuses"

Les muscles des jambes c'est pas terrible ! Vraiment trop !

* Discrimination à l'Aéroport de Roissy (lol ! ou pas lol !)

Logo sur une porte de placard à balais au Terminal CDG1
(photo de 2008, toujours pareil ? )
*Apparemment les hommes n'auraient pas le droit de faire le ménage !
(Esprit de Femmes) 

jeudi 22 juillet 2010

Elula Perrin et le Katmandou première boîte lesbienne à Paris


Illustration boîte lesbienne (plus récente mais fermée hélas!) avec cette vidéo tournée au Pulp à Paris . A noter Claire Nebout, actrice.
Elula Perrin 1929-2003 , créatrice du Kadmandou, auteur
Le 2 décembre 1969, Elula Perrin va ouvrir avec Aimée Mori "Le Katmandou" au 21 rue du Vieux Colombier. D'entrée de jeu, ce club lesbien va se démarquer des autres établissements pour filles. D'abord, il est exclusivement féminin et les hommes ne peuvent, en principe, pas y entrer. Ensuite, le Katmandou est un club à la mode et relègue aux rang des antiquités le garçonnes en costume masculin des autres clubs. Ici les filles sont jeunes, modernes, en minijupe ou en short. Elles dansent le jerk ou le twist et ont davantage l'esprit libéré des hippies que de leurs mamans. Enfin, si les femmes y sont reines, elles n'y sont pas exclusivement homosexuelles. Le club accueillera quelques femmes célèbres et quelques figures du showbiz comme Mélina Mercouri (mère de Joe Dassin et future ministre grecque de la Culture) ou Alice Sapritch, (actrice et égérie des homosexuels). Elula Perrin sera non seulement une grande figure de la nuit parisienne mais aussi une militante lesbienne active. Elle participera par la suite à des émissions de télé sur l'homosexualité, écrira de nombreux livres, dont le premier, "Les femmes préfèrent les femmes" en 1977, connaîtra un grand succès. ( source Exagone Gay )

Je suis tellement vieille (!!!) que je peux dire que j'ai fréquenté l'endroit quand j'allais à Paris début des années 80 en Vacances. C'était incroyable. On y trouvait en effet des gens célébres ( j'y ai cotoyé Alice Sapritch qui venait avec son amie de théâtre Hélène Duc ), quelques hommes qu'acceptaient Elula après la sélection drastique des "portières" de la boîte, quelques américaines ivres qui dansaient au milieu de la piste et vous payez du champagne si vous leur faisiez un peu de charme, mais surtout des filles pour tous les goûts : des très féminines aux très butchs. J'y ai passé des nuits agitées et je rentrais, souvent accompagnée (si,si!), en voiture ou par le premier métro au bercail, en l'occurence quelquefois le studio de ma cousine (que je croisais alors qu'elle partait travailler). Il faut bien que jeunesse lesbienne se passe. Quand je rentrais dans ma province, je pouvais enfin dormir ! (Esprit de Femmes)

mardi 20 juillet 2010

lundi 19 juillet 2010

Allons y franchement dans les "curiosités" ...

Nobuyoshi ARAKI, photographe japonais

Encore un peu de "macramé" (lol !) Photos de Araki

Autres : Ceintures de chasteté (!!!) On notera qu'il s'agit probablement d'une carte postale, timbrée donc envoyée où, à qui ?

Kunisada (1786-1865) sans titre - vers 1840

"Cette estampe représente deux femmes se pénétrant avec le même phallus artificiel (harikata). Elles se tirent l’une vers l’autre par les bras, ce mouvement leur permet ainsi d’enfoncer plus profondément le harikata. Kunisada a fait habilement soulever par sa partenaire la jambe droite de la jeune femme allongée, permettant au spectateur d’observer au mieux la pénétration. Au regard de la couleur et des formes géométriques que l’on peut apercevoir dessus, il semblerait que le harikata soit en écailles de tortue " (texte qui accompagnait l'estampe).

jeudi 15 juillet 2010

Butch is a butch

Je le reconnais, j'aime bien ce genre de femmes !

mercredi 14 juillet 2010

mardi 13 juillet 2010

Kimbaku-bi

Photos Nobuyoshi Araki
Au Japon les samouraïs avaient développé des techniques sophistiquées pour immobiliser leurs prisonniers ou punir les criminels. Le hobatu jutsu était avant tout un art martial. Ces immobilisations étaient publiques pour montrer à tout le monde la qualité de la réalisation du kimbaku et l'ampleur de la soumission ou de la punition selon le cas. Les règles en étaient :
Ne pas permettre au prisonnier de se libérer,
Ne pas causer de blessure physique ou mentale,
Ne pas laisser voir à d’autres ses techniques,
Que le résultat soit beau à regarder.

Ce n’est qu'au cours du dix-neuvième siècle qu’apparaissent les premières estampes représentant des femmes ligotées comme ça dans un but érotique le plus souvent nommé Shibari en europe. De nombreux photographes japonais du XXe siècle ont aussi mis à l'honneur cette pratique érotique. Attention , bien sûr, il n'est pas question de réaliser ces entraves sans un minimum de précautions. Pas de corde autour du cou, une bonne paire de ciseaux pour couper les liens en urgence, pas de suspension haute au cas ou les cordes seraient mal fixées, pas de liens trop serrés qui couperaient la circulation sanguine, etc ... La priorité aussi c'est de ne pas s'adonner à ces pratiques avec un(e) inconnu(e). Une confiance absolue est la garantie de la sécurité et de pouvoir s'abandonner à la domination de l'autre avec délice sans oublier le plaisir du(de la) soumis(e). C'est avant tout un jeu!
On peut faire de cet art érotique une belle expérience, on est pas obligé d'en faire un truc cracra porno. Le but c'est plutôt un jeu de soumission-domination raffiné, extrêmement stimulant intellectuellement et physiquement, dans le cadre d'une relation d'adultes consentants. Et que tout ça reste esthétique.(Esprit de Femmes)

lundi 12 juillet 2010

B.D sympa

La vie de Clémentine bascule le jour où elle rencontre Emma, une jeune fille aux cheveux bleus, qui lui fait découvrir toutes les facettes du désir.
Elle lui permettra d’affronter enfin le regard des autres.
Un récit tendre et sensible.

samedi 10 juillet 2010

Vaste Monde


Tous les jours depuis que j'ai installé ovisite, je découvre que j'ai des lecteurs(trices) lointain(e)s assidu(e)s : Angleterre, Suisse, Italie, Espagne, Algérie, Tunisie, Congo, Etats Unis, Canada, Brésil et bien sûr France. Je vous remercie de vos passages réguliers. Surtout n'hésitez pas à me laisser des commentaires, j'en serai ravie. A bientôt peut-être !

vendredi 9 juillet 2010

K.D.Lang

Chanteuse, parolière, canadienne, lesbienne
Voir son clip "Sexuality"plus bas dans cette page

jeudi 8 juillet 2010

Une artiste que la France aurait envie de "récuperer" maintenant qu'elle est morte ?

Louise Bourgeois la provoc ?



Louise Joséphine Bourgeois, Paris 1911 - New York 2010, est une artiste sculpteur et plasticienne française naturalisée américaine.
L'essentiel de sa carrière artistique s'est déroulé à New York où elle s'est installée en 1938 après avoir épousé l'historien d'art américain Robert Goldwater.
La reconnaissance de son travail artistique grandit avec les dernières années de sa vie, où elle s'affirme comme une influence importante pour les nouvelles générations d'artistes, particulièrement féminines. Louise Bourgeois a traité principalement les thèmes universels : les relations entre les êtres, l'amour et la frustration entre des amants ou les membres d'une même famille, l'érotisme... avec colère , tendresse et souvent malice. L'art, "garantie de santé mentale", lui ayant permis de transformer ses démons en alliés.

mercredi 7 juillet 2010

Femmes en uniforme

Dans tous les pays et depuis toujours ou presque des femmes sont en uniforme.



Qu'elles sauvent, qu'elles soignent, qu'elles fassent la guerre, qu'elles protègent : de la G.I américaine à la policière de Gaza ...



mardi 6 juillet 2010

Jeunes filles à la baignade

Ce rouge et ce vert décalé me laisse a penser qu'il doit s'agir d'une photo que l'on pouvait regarder en relief avec des verres spéciaux (très vieux procédé)